• 2 personnes

    • 2 courgettes,
    • 2 saucisses de Francfort,
    • moutarde Savora ou autres,
    • ketchup ou crème et fromage
    • sel et poivre.

    Lavez vos courgettes. Utilisez si vous avez un couteau vide pomme, sinon creuser la courgette au milieu sur toute la longueur de façon à pouvoir mettre le saucisse.

    Faites cuire vos courgettes à la vapeur 5 à 10 minutes (attention, prévoyez de les avoir encore bien croquantes si vous les passez au four) avec un peu de sel. Peu avant la fin, ajoutez vos saucisses dans le panier vapeur de façon à les chauffer.

    Confectionnez vos hot-dog en mettant la saucisse dans la courgette, puis un trait de moutarde savora et finissez par le ketchup. Ou mettez sous la saucisse un mélange moutarde crème et du fromage par dessus la saucisse et passez au four chaud 10 mn à 250°C.

    Vous pouvez varier à l'infini en mettant des fromages à goût, un peu de coulis de tomates, des merguez...

    Un mélange de Marmiton, Foodies etc...




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  • Pour 4 personnes

    • 4 concombres
    • 2 tomates (fraîches ou en boîte pelées)
    • 1 bouillon de volaille
    • 2 petits oignons
    • 4 cuillerées à soupe de yaourt bulgare

    Commencez par faire bouillir de l'eau pour y plonger pendant environ 30 secondes à une minute les tomates, afin de les peler.

    Otez la peau du concombre et les graines à l'intérieur. Coupez-le en morceaux assez petits.
    Émincez les oignons.

    Faites chauffer deux cuillerées à café d'huile d'olive dans une casserole ou une cocotte (à fond qui n'attache pas) et faites-y revenir les oignons, sans les caraméliser.

    Versez-y ensuite le concombre et les tomates (entières).

    Faites revenir le tout pendant quelques minutes.

    Recouvrez le tout (à peine au dessus du niveau des légumes) d'eau bouillante et enfin plongez-y le cube de bouillon de volaille.

    Laissez bouillir à petits bouillons pendant 15 mn.

    A la fin de la cuisson retirer le concombre les tomates et les oignons à l'aide d'une écumoire. Ajoutez-y le yaourt bulgare, et mixez le tout!!.

    Ne salez qu'après car le bouillon est déjà salé !

    Merci Daniel (adhérent) pour cette recette et pour le témoignage sur le fait que le Velouté de cosse de fève est excellent (Brève 277 verso) !


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  • Pour 4 personnes

    • 1 kg de fèves nouvelles dans leurs belles gousses vertes
    • 1 oignon moyen, émincé
    • 10 cl d'huile d'olive
    • 2 gousses d'ail émincées
    • sel, poivre
    • 5 cl de vinaigre de vin
    • 5 ou 20 cl d'eau selon le mode de cuisson

    Gardez ou écossez les fèves et mettez-les de côté pour une autre recette ou pour les déguster crues à la croque au sel.

    Ôtez les fils avec soin, au couteau si nécessaire. Procédez rapidement, les cosses de fèves ont la particularité de noircir. Ce n'est pas grave, mais c'est temporairement laid à regarder.

    Lavez les cosses, égouttez-les, coupez-les en tronçons.

    Faites blondir l'oignon émincé dans l'huile d'olive. Quand il est tendre, ajoutez les cosses de fèves, bien remuez.

    Mouillez avec le vinaigre et ajoutez l'ail émincé, le sel et le poivre.

    Faites cuire à l'étouffée :
    ajoutez 5 cl d'eau, fermer l'autocuiseur et laissez cuire 10 mn à partir du chuchotement de la soupape.

    A la casserole :
    ajoutez 20 cl d'eau, couvrez et laissez bouillotter à feu minimum 30 mn.

    Les cosses sont tendres, juste enrobées d'un voile de jus de cuisson.

    Variante : Rajoutez de la chair de tomate et ou de la viande hachée, et cela a fait un plat principal très apprécié.

    Issue de http://www.marmiton.org/recettes


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  • Pour 3 personnes

    • 2 bulbes de fenouil
    • 1 boîte de thon au naturel (93 g)
    • 1 petit oignon blanc
    • 3 œufs
    • huile d'olive
    • 1 citron
    • quelques tomates cerise
    • sel, poivre
    • ciboulette

    Faites cuire les œufs durs pendant 10 min à partir de l'ébullition. Rafraîchissez, égouttez.

    Lavez les bulbes de fenouil et râpez-les grossièrement (râpe à céleri), arrosez-les rapidement avec le jus d'un demi citron pour éviter l’oxydation.

    Coupez les œufs en deux et écrasez les jaunes avec une fourchette. Ajouter l'huile d'olive, le jus d’un demi citron et mélangez bien. Assaisonnez de sel et de poivre.

    Mélangez le fenouil râpé à cet assaisonnement. Ajoutez les blancs d’œufs coupés en petits cubes et mélangez.

    Émincez finement le petit oignon frais, mélangez-le au thon émietté dans son jus, salez, poivrez.

    Disposez la salade de fenouil sur le fond d'une assiette, répartissez-y le thon, décorez avec quelques tomates cerise (pour la couleur) coupées en deux et de ciboulette ciselée.

    Remarques : On peut remplacer le thon par du crabe ou du surimi (râpé de la mer) et ajoutez des crevettes roses... Laissez donc aux convives le soin de deviner le légume de base. Fine bouche celui (ou celle) qui trouvera !

    Issue de http://www.marmiton.org/recettes


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  • Compte rendu de la rencontre apéritive des adhérents·es du 24 novembre 2007

    10% des adhérents·es présents·es avec un équilibre entre les anciens·nes et les nouvelles·eaux...

    Une rencontre intéressante à vos dire et notre ressenti.

    Trois parties à ce compte-rendu : vos questions, vos témoignages et vos propositions, dans cette dernière partie le prochain rendez-vous organisé par Corinne et Mélanie...

    Vos questions :

    • Qui apprend et comment ?

    Les encadrants·es apprennent aux jardiniers·es au fur et à mesure des tâches.

    Le maraîchage est un support accessible à tous le monde, avec des gestes simples, il y a du bon sens. La récolte des salades est simple à réaliser, les débutants·es peuvent le faire, puis pour la récolte des courgettes, il faut avoir le bon geste, on spécialise, il faut avoir la connaissance de la maturité, donc il y a besoin de pratiquer pour savoir faire... Comme on commence par le désherbage du radis et des navets qui sont bien visibles avant de passer aux carottes qu'il faut chercher. C'est frustrant pour les salariés·es qui voudrait tout apprendre et vite. Il faut un an pour avoir la connaissance du jardin. En hiver, nous faisons une demi journée de formation plus théorique. J'aime bien leur poser des question comme ça ne marche pas avec ta binette, arrête toi et voit ce que tu peux améliorer ou porter les cagettes par 2 ça fait moins mal au dos.

    Beaucoup sont nantais, ils et elles n'ont pas de pratique et ne connaisse pas la culture agricole. Très peu travailleront en maraîchage, c'est difficile, mal rémunéré, saisonnier et cela convient mal au citadin. Le travail ailleurs est très différents car pour faire tournée une production tel que la nôtre, il faudrait seulement deux temps plein et demi.

    • Qui sont ils ?

    Ils ont entre 17 et 57 ans, ça peut aller jusqu'à la retraite, la moyenne est de 38 à 40 ans. Il y a 19 jardiniers·es avec un poste en sous-main de justice, trois postes jeunes, deux à trois de chômeurs·ses de longues durées et le reste en RSA. Ils arrivent après des parcours de vie et des problématiques variés, pour certains·es une reconnaissance difficile des problèmes d'addiction, il y a de plus en plus qui sont d'origine étrangère avec de super compétences et capacités de travail mais aussi .le problème du français.

    Il y a une évolution dans leur rapport aux légumes. Il y a un côté satisfaisant de voir pousser les légumes. Il y a une fierté de ce qu'on fait. En hiver on fait une soupe et même celles et ceux qui n'aiment pas, comme c'est chaud, elles et ils s'y mettent et le regard change.

    Comment est articulé le temps de travail passé entre l'insertion et la production ?

    J'évalue à 50%. Les encadrants·es posent le cadre et l'alchimie avec l'équipe mixte d'âge différent, d'origine différente jouent beaucoup pour ce qui va se passer. Sans oublié le travail d'accompagnement socioprofessionnel d'Anne-Christelle.

    • Comment est organisée la production ?

    C'est la période où l'on fait ce travail. On fait un panier type pour chaque semaine. On prévoit des tomates quasi toutes les semaines sur l'été et des aubergines moins souvent. Pour 150 paniers, si on veut 8 semaines de tomates, il faut prévoir 800 kg soit 5 planches à planter. On fait ainsi pour tous les légumes. On regarde les familles pour prévoir les lieux de plantations (les tomates, les patates et les aubergines sont de la même famille) pour prévoir les rotations.

    • Pouvez-vous nous décrire votre variété ?

    Il n'y a pas beaucoup de producteurs qui font autant de variétés, c'est possible parce qu'on a des moyens humain donc on force le casse-tête., par exemple on a des quarts de planche, ce que ne permet pas l'automatisation. Nous faisons 30 à 40 légumes différents ce qui fait 200 variétés/ On prépare un calendrier de travail par semaine (semis, plantation etc) et après on s'appuie dessus mais on doit le mettre en phase avec le calendrier lunaire, la météo , ce qu'on a eu le temps de préparer (terrain), la présence ou les absences des salariés·es et les panne du tracteur. C'est le travail de prévision que nous faisons actuellement.

    • Combien de temps les légumes mettent-ils à pousser ?

    Les radis mettent 15 jours. Pour les poireaux il faut faire le semis en février pour avoir une récolte en octobre. En moyenne, il fut un à deux mois de culture, en partant de la préparation du sol, le semi, la plantation, l'entretien et la récolte, cette dernière est plus ou moins étalée...

    Quelles quantité de légumes cela représente-t-il ?

    20 tonnes de légumes par an pour 150 paniers ou 100 parts pleines (on fait un prorata des petits et grands paniers) et l'on prévoit du surplus pour le marché. Nous faisons environ 7 à 800 kg de tomates, 3 à 4 tonnes de pommes de terre, 2 tonnes d'oignons, 500 kg de betterave et navet...

    • Avez-vous beaucoup de perte ?

    C'est inévitable pour avoir beaucoup de production en quantité et en variété. Nous essayons de réduire au maximum ces pertes, pour cela, nous valorisions quand même dans les paniers, comme les tomates à coulis (d'ailleurs vous jouer vraiment bien le jeu là-dessus) et ensuite, on donne aux jardiniers·es et autres...

    • Pourquoi avez-vous moins de choux ?

    Nos choux sont attaqués par la hernie du chou qui enserre la racine et l'empêche de se nourrir et de grossir. Donc ça nous amène moins de production et ensuite, nous en faisons moins pour tenter d'éradiquer la hernie qui est installée dans la terre.

    Pour le chou de Bruxelles, nous n'avons pas un terrain favorable à cette culture, c'est un chou très gourmande et nous n'arrivons pas à garder assez d'azote dans la terre sur assez longtemps, (ils sont plantés en juin et récolté en octobre-novembre).

    C'est ce qui nous a amené à faire du chou kale qui n'est pas concerné par ces soucis. Vous nous dîtes qu'il n'est pas facile à consommer. Nous devons de notre côté nous améliorer sur la récolte qui doit se faire à un moment où le chou est plus jeune avant que les feuilles soient grandes car il devient plus dure et moins bons. Pour le cuisiner, un des gestes importants est de le masser avant de le manger cru émincé en salade ou cuit. Une adhérente vous le conseille en pesto mixé cru à mettre dans vos pâtes, elle le congèle aussi.

    Vos témoignages :

    • « Les légumes sont de plus en plus beaux et c'est bien agréable.

    • J'ai pu noté une amélioration sur la variété et la qualité, avec de produits différents toutes les semaines et l'apparition d'herbes de temps en temps.

    • Je trouve que vous gagner en qualité des légumes et en variété. C'est un panier plus utile qu'au début avec moins de variété de légumes donc plus de quantité de chaque ce qui est plus facile à cuisiner. On peut faire un vrai plat de famille. Il est vrai qu'au début aussi on découvrait. Question qualité, il n'y a pas photo.

    • Moi je trouve qu'en quantité, il y a un goût de trop peu dans le petit panier.

    • Les pommes de terre sont très bonnes.

    • C'est une bonne idée les produits annexes. Les fruits manquaient mais là, il y a tout.

    • Qu'est-ce qu'elles étaient bonnes les betteraves !

    • Nous sommes ravi de toute ce qui est autour du panier, les produits complémentaires, le blog (un site serait encore mieux) avec les recettes et la composition du panier à l'avance, les rencontres et ça n'arrête pas d'évoluer... Nous avons le plaisir de venir.

    • Un petit goût de trop peu en quantité pour moi. On se régale.

    • Les recettes sont bien, adaptées au panier, elles sont bonnes et donnent aussi des idées.

    • Je découvre plein de chose, des goûts etc...

    • On cherchait à manger bon sans plastique, pesticide, etc... On est en complètement en découverte, on retrouve des saveurs de quand on était enfant. Le basilic est extraordinaire et repousse dans le verre d'eau.

    • Les rencontres sont bien, on prend le temps de s'arrêter pour échanger... »

    Vos propositions :

    • Du vin biologique

    • Des pains plus variés en terme de farine.

    • Des fruits de saison → Il y a la commande de pommes et les commandes de fruits andalous.

    • Pour les fêtes du foie gras, poulet, chapon → Nous avons pris en compte et vous pouvez commander des volailles festives pour le 22 décembre. Attention les commandes sont passées au fur et à mesure dans la limite des stocks.

    • Des visites du jardin avec un encadrant·e a été demandé plusieurs fois et pourquoi pas sur un thème par exemple, comment on se débarrasse des pesticides ? → En attendant, vous pouvez aller voir le jardin par vous-même quand vous venez...

    • Une Rencontre autour de la permaculture.

    • Vente de plants de légumes → Nous avons entendu cette demande, nous ne pouvons vous vendre nos soldes de plants parce qu'il vous arriveraient trop tard pour les planter et souvent ce sont des plants de moindre qualité. Nous réfléchissons à en produire plus pour les mettre à la vente pour vous.

    • Soirée sur les techniques : une soirée payante avec possibilité d'inviter des gens hors jardin sur des thèmes des techniques de production de légumes, de jardinage, la permaculture, sur le sol, la plante, le semi... Cela pourrait être une source supplémentaire de revenus pour le jardin et cela nous intéresserait.

    Corinne et Mélanie organise
    (suite à une proposition lors de la dernière rencontre)
    une Recycle Balade autour du jardin
    pour ramasser les détritus dans les fossés et les chemin... Rendez-vous le dimanche 17 décembre à 14h...

    - Fin du compte-rendu ! -

     

     

     

    Invitation
    à la rencontre apéritive des adhérents-es
    du samedi 24 novembre 2017
    à partir de 17h30.

    Comme chaque année nous organisons ce temps de rencontre pour vous nos adhérents-es sur le jardin

    En présence cette année d'un.e encadrant.e technique pour répondre à vos questions légumes et culture...

    C'est une rencontre informelle qui vous donne un espace de parole, de questionnement et qui permet de mieux se connaître entre adhérents-es, entre adhérents-es et jardin etc...

    Un moment pour partager, échanger, nous questionner sur le jardin, les paniers, l'association, le plan de culture, l'insertion, votre places d'adhérents-es, les rencontres (portes-ouvertes, fête du jardin, Rendez-vous de Mélanie, rencontre apéritive des adhérents-es...) etc... autour d'un apéritif sans alcool.

    Venez nombreux !


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